Je me réveille et regarde au dehors : il à neigé toute la nuit, il y'a environ 10 cm de neige sur le sol et un grand soleil. C'est magnifique, même si ce n'est pas très pratique pour nous.
Peter se réveille avec des douleurs atroces dans le bas du dos, ce qui n'est pas vraiment étonnant après 4j à porter un sac de 25 kilos. Il est paralysé. On commence à s'inquiéter de devoir aller chercher les secours en ville ou rester une nuit de plus. Cette situation dure quelques heures, quelques heures atroces pour lui d'ailleurs puisqu'il à envie d'aller aux toilettes. Je tente de le masser, de le faire bouger, je le bourre de médocs.
Finalement, après de maints efforts, il arrive à se lever et peut marcher sans trop de difficulté.
Le retour est terrible pour moi : la fin, quoi.
Mes quadriceps me font extrêmement souffrir, sûrement pour avoir trop forcé dessus la veille, dans ma tentative de ne pas chuter d'une montagne.
Je suis à bout. La fin, je la fais avec une humeur extrêmement mauvaise, et avec une haine féroce contre le Lonely Planet qui n'a pas jugé utile d'indiquer le chemin du retour.
Arrivée enfin sur la route, on fait une grosse pause. Je veux faire du stop. Peter reste avec moi et Quentin commence à faire la route à pied. On se met quand même en marche au bout d'un moment (aucune voiture ne passe, rien d'étonnant), prêts à faire 7 kilomètres. Je donne un cours de français à Peter pour nous occuper.
Au moment où je réalise que ça va être bien trop difficile pour moi, "QUOI?! On à fait que 2 km?!", une voiture passe ENFIN et s'arrête directement pour nous prendre à l'arrière de son pick up. Elle s'arrête une seconde fois pour prendre Quentin qui à déjà pris pas mal d'avance.
Faire les 5 km restants en voiture, sans avoir besoin de taper la discute avec le chauffeur puisqu'on est dans son coffre, elle est pas belle la vie?
Je vais jusqu'à l'hostal en boîtant, et je peine à suivre Q et P, mais arrivés là-bas, mon dieu QUEL PLAISIR.
Prendre une douche chaude et dormir dans un vrai lit : UN VRAI BONHEUR.
Le soir on mange une pizza maison délicieuse au coin du feu, je suis au paradis.
Le retour est terrible pour moi : la fin, quoi.
Mes quadriceps me font extrêmement souffrir, sûrement pour avoir trop forcé dessus la veille, dans ma tentative de ne pas chuter d'une montagne.
Je suis à bout. La fin, je la fais avec une humeur extrêmement mauvaise, et avec une haine féroce contre le Lonely Planet qui n'a pas jugé utile d'indiquer le chemin du retour.
Arrivée enfin sur la route, on fait une grosse pause. Je veux faire du stop. Peter reste avec moi et Quentin commence à faire la route à pied. On se met quand même en marche au bout d'un moment (aucune voiture ne passe, rien d'étonnant), prêts à faire 7 kilomètres. Je donne un cours de français à Peter pour nous occuper.
Au moment où je réalise que ça va être bien trop difficile pour moi, "QUOI?! On à fait que 2 km?!", une voiture passe ENFIN et s'arrête directement pour nous prendre à l'arrière de son pick up. Elle s'arrête une seconde fois pour prendre Quentin qui à déjà pris pas mal d'avance.
Faire les 5 km restants en voiture, sans avoir besoin de taper la discute avec le chauffeur puisqu'on est dans son coffre, elle est pas belle la vie?
Je vais jusqu'à l'hostal en boîtant, et je peine à suivre Q et P, mais arrivés là-bas, mon dieu QUEL PLAISIR.
Prendre une douche chaude et dormir dans un vrai lit : UN VRAI BONHEUR.
Le soir on mange une pizza maison délicieuse au coin du feu, je suis au paradis.
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