On passe la journée à organiser nos futurs tours. Après avoir comparé les prix et les différents parcours proposés pour aller jusqu'à Macchu Picchu, ainsi que les témoignages, on décide de le faire pas nous même plutôt qu'avec une agence de voyage. Avec l'agence de voyage, tu pars dans un groupe de 10, les chevaux portent tes bagages... Bref, c'est pas la même expérience.
On commence à se demander si on ne pourrait pas aller dans la jungle péruvienne, dans le parc Manú, le plus près de Cusco. Après avoir entendu 150 arnaqueurs nous assurer que oui, on à quand même des chances de voir des panthères noires (NON, durant les saisons des pluies, c'est impossible de voir des panthères noires, c'est d'ailleurs presque impossible de voir ne serait-ce qu'un perroquet. Bon après j'imagine que les témoignages de gens ayant aperçu des animaux extraordinaires durant la saison des pluies doivent exister sur internet, mais ils sont rares, il faut être réaliste et pas se faire prendre pour un jambon. Dieu que j'aime cette expression.).
Et on finit pas tomber sur un guide bien, honnête, passionné, qui nous donne toutes les clefs pour aller quelques jours dans la jungle sans passer par une agence. On se décide donc pour cette option, même si les recommandations du style : "prenez des bottes en caoutchouc, pour les serpents" et "une machette c'est pas mal au cas où" ne me rassurent pas trop.
On part à l'aventure en fait là.
Voilà ce qui à occupé notre soirées durant les quelques jours passés a Cusco, ceci explique pourquoi on a actuellement une table de ping pong a la Casa (ouaaaai une table de ping pong, tu vas faire quoooooi)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire