Mais c'est vrai que si le bus est plein...
La joie après 4h à faire du stop
Bon, ce bus réussit à faire 60 kilomètres en deux heures et demie, ce qui ne manque de nous mettre en joie, sachant qu'on a un bus à prendre d'ici peu dans la prochaine ville.
Je vois les minutes défiler, et au final, on se résigne: on ne l'aura pas ce fichu bus.
Il se trouve qu'au final le vent tourne, puisque le bus qu'on pensait louper à Villa Santa Lucia à aussi deux heures de retard. La vie est bien faite quand même.
Ce bus va a Futaleufu. Petit rappel pour ceux qui ne suivent pas trop, on cherche à retourner en Argentine, donc on va à la frontière, à Futaleufu. Quel nom ridicule, en plus ça se prononce Fou-ta-lait-ou-fou, j'ai du trouver un mnémotechnique particulièrement nul pour le retenir : fous ton lait au four.
Bref, nous voilà donc partis pour Fous ton lait au four, et durant le trajet, P me parle de venir quelques semaines à la maison cet été. Ah, il voulait pas rompre en fait. Aurais-je exagéré pour rien? Pas mon genre.
On dort donc là-bas, et demain, on retourne en Argentine (ouiiiii).
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